Cette année, le Groupe fête ses 25 ans. Pour célébrer cet anniversaire nous donnons la parole à des collaboratrices et des collaborateurs qui sont arrivés chez Polyexpert en 1997, ont évolué et sont toujours engagés dans le Groupe. Découvrez aujourd’hui, le témoignage de Géraldine de Roussel de Préville, Assistante d’expert au Bureau de Tours, Polyexpert Atlantique ????
Quel souvenir gardez-vous de votre arrivée en 1997 ?
Le Cabinet d’expertise tourangeau dans lequel je travaillais comme Assistante d’expert a été racheté par le Groupe Polyexpert en juin 1997. Pour moi la transition s’est faite sans problème.
Quel poste occupiez-vous à cette époque ?
J’étais Assistante d’expert. Je travaillais avec Pascal de Russé, l’expert fondateur de ce Cabinet, puis un jeune expert, Frédéric Ursely, qui est toujours là d’ailleurs. J’étais chargée de l’ouverture des missions, qui étaient toutes au format papier et que nous recevions par courrier, de leur enregistrement manuel, de la prise des RDV, de l’envoi des courriers recommandés en cas de mise en cause, de la frappe et de l’expédition des rapports.
Quelle image aviez-vous du Groupe à cette époque ?
C’était une entité un peu lointaine il faut bien le reconnaître. La création du gestionnaire de tâches a été une évolution importante, je n’ai d’ailleurs pas bien compris la réticence de certains car l’outil était pratique et permettait à chacun de suivre l’évolution du dossier et d’en avoir une vision globale.
En 2022, quelle est votre fonction ?
Je travaille toujours au Bureau de Tours avec 3 experts PJ dont l’un fait aussi de la sécheresse. Ces dossiers sont longs, parfois jusqu’à 2 ans, et intéressants. Je m’occupe de la phase du dossier après la première expertise, mon travail est scindé en tâches, ce qui est assez frustrant, et, moins intéressant que le traitement d’un dossier de A à Z. En revanche, ce sont les relations avec les assurés qui font l’intérêt du poste. Comme je le dis souvent, je pratique avec eux « courtoisie », « empathie », « écoute », et « pédagogie » : j’explique comment leur dossier va se passer, ce qu’est une expertise contradictoire…
Quelle image avez-vous du Groupe aujourd’hui ?
C’est un Groupe national, reconnu, en bonne santé financière, ce qui garantit aussi la sécurité financière de ses salariés, dont les dirigeants se projettent sur le long terme pour assurer la pérennité de l’organisation. Finalement, c’est pendant le premier confinement que j’en ai pris le plus conscience notamment avec les messages vidéo d’Emmanuel Géli, notre PDG.
Quel regard portez-vous sur ces 25 ans ?
J’ai le sentiment que tout le monde s’efforce de bien faire son travail, de préserver les liens malgré la pression, les délais, les statistiques… Je serai bientôt à la retraite et je vais pouvoir prendre le temps… de jardiner, lire, aller dans les salles des ventes… Finalement, ces 25 années ont passé très vite.