Hector Ageneau a rejoint Polyexpert Ile-de-France Centre à Courbevoie, au poste d’expert en alternance, en octobre 2021 pour une durée de trois ans. Il alterne les périodes à l’école et les périodes au bureau sous la responsabilité de Moussa Diaw, expert certifié TEA. Dans cet entretien, il évoque son parcours de formation, son intégration au sein du Groupe et les raisons pour lesquelles il a choisi l’alternance.
Quel est votre cursus ?
J’ai d’abord suivi un BTS bâtiment spécialité modélisation numérique en alternance, en travaillant sur les chantiers. À l’obtention de mon diplôme, j’ai été accepté à l’école CESI, école d’ingénieur en bâtiment à Nanterre où je poursuis actuellement mes études en master ingénieur en bâtiment en alternance chez Polyexpert, au sein du Groupe Alkera.
Comment et pourquoi avoir choisi Polyexpert ?
L’école CESI propose un réseau d’entreprises aux étudiants et organise des séances de présentation des métiers. J’ai exprimé ma volonté de suivre le parcours d’expert, c’est pourquoi j’ai été contacté par Polyexpert pour un entretien à Paris. Mon choix s’est porté pour Polyexpert pour plusieurs raisons : l’accompagnement et le suivi des alternants, l’évolution des compétences et un éventuel projet d’embauche.
Comment se déroule l’alternance ?
L’apprentissage au sein de Polyexpert est évolutif. La première année est consacrée principalement à la théorie avec l’études des différentes conventions et l’utilisation des logiciels. Petit à petit, j’ai découvert le métier d’expert grâce à la visio-expertise, en traitant 2 dossiers par jour. Aujourd’hui, je traite 5 à 6 dossiers par jour.
Quelques mots sur votre intégration ?
Mon intégration s’est bien passée. Je suis arrivé chez Polyexpert en même temps que quatre apprentis de ma promotion. L’ambiance est agréable, on s’entend tous bien ce qui facilite le travail et favorise l’entraide. Mon manager Moussa Diaw est toujours disponible et à l’écoute, ce qui m’a permis d’être à l’aise dès le premier jour.
Ce qui vous plaît dans le métier d’expert ?
J’aime analyser et comprendre le contexte du sinistre ainsi que rechercher une solution au problème.
Je suis passionné par le bâtiment et par la construction, c’est pourquoi les dossiers que je préfère sont les plus techniques.
Le projet dont vous êtes le plus fier ?
C’était un sinistre qui a eu lieu à côté de Bordeaux. Les combles d’une maison ont pris feu à cause d’une cheminée allumée. Les pompiers ont dû détruire toute la charpente causant pas mal de dégâts. C’était un dossier avec une grosse partie technique, que j’ai dû chiffrer en visio-expertise. En plus d’apprécier travailler sur le chiffrage, j’ai aimé accompagner l’assuré : la personne sinistrée était très agréable.
Comment voyez-vous votre évolution professionnelle ?
J’aimerais commencer par l’expertise fréquence pour ensuite évoluer vers l’expertise médian : c’est-à-dire des sinistres plus compliqués avec des enjeux plus importants ainsi qu’un chiffrage plus élevé et des recherches plus poussées et approfondies. Si je me projette encore plus loin, je souhaiterais faire de l’expertise à très fort enjeu et pourquoi pas manager une équipe.